Le mariage dit-on est contracté pour le meilleur et pour le pire. Mais il arrive des situations imprévues, ou des évènements désagréables pouvant précipiter le couple dans le gouffre et finir par se conclure par le divorce. Dans un tel cas, le meilleur doit être réservé aux enfants, lesquels ne doivent d’aucune façon être financièrement victimisés. Le versement de la pension alimentaire est l’un des mécanismes par lesquels la protection des enfants est assurée. Qui doivent en être les bénéficiaires?
Enfants de parents divorcés
La pension alimentaire est une obligation juridique mise sur pied dans le but de protéger l’intérêt de l’enfant. Cette somme lui est versée indépendamment de son statut de mineur ou majeur jusqu’à son acquisition d’autonomie: aller ici https://www.kathleenspivack.com/ pour avoir plus d’informations sur le sujet. Toutefois, l’enfant perdra le droit une fois jugé financièrement autonome. Cette pension est versée chaque mois et son calcul se fait avec un simulateur de calcul qui est sur la table de référence faite par le ministère de la justice. Toutes ces recommandations sont contenues dans l’article 373-2-2 du code civil.
Un conjoint
Les modalités de cet accord sont contenues dans l’article 212 du code civil qui stipule que les époux se doivent mutuellement respect, fidélité, secours et assistance. Ici, la pension alimentaire est uniquement versée pendant la séparation de corps. En effet, pendant cette période ou le divorce n’est pas encore prononcé, les liens familiaux existent toujours et le patrimoine familial est un bien commun aux deux conjoints. Les conjoints doivent donc continuer à participer aux charges familiales, sans quoi, l’un versera une pension alimentaire à l’autre.
Les beaux-parents ou ascendants
La pension alimentaire est accordée à ceux-ci au cas où ils sont dans une situation de déficit budgétaire. Il s’agit là d’une obligation alimentaire de l’enfant vis-à-vis de ses parents âgés, comme ceux-ci l’avaient aussi envers lui quand il fut mineur. Cela devait être naturel, mais elle est obligée par le juge en cas de conflits familiaux.